Huile sur toile. 100×100
Dans son prochain travail, Angélique Dauvilliers cherche à mettre en perspective des traces, empreintes, messages, des formes d’inscriptions humaines sur les murs des villes.
« Je suis en désintoxication des machines » ( Non le téléphone ce n’est pas la même chose; la voix c’est encore proche du corps) est un passage du monologue :Ce soir je n’ai pas peur de Erwan Tanguy.
Une réflexion sur la solitude qui selon Angélique peut-être directement mise en parallèle avec ces empreintes de vies humaines anonymes que l’on retrouve en bas de chez nous.